jeudi 27 juin 2013

MES ADIEUX DE SCENE !

                                                    Il y a déjà quelques temps que j'en ai pris la décision : "arrêtez mon blog ! Faire mes adieux de scène !"
  Certes ce blog me plaisait, il me plait encore, et je crois qu'il me plaira toujours !
Mais il me faut que je me rende compte, objectivement, que je ne peux plus dessiner comme je le voudrais et que mes textes ne suivent pas la cadence non plus !
  De plus, je n'ai pas le temps matériel de me consacrer à ma "passion", vu le temps "inutile" que consacre la médecine à mon intention ! Je suis un "cas" !
  Alors je cesse mon activité super passionnante en vous remerçiant toutes et tous pour l'intéret que vous avez pris en regardant mes dessins, en lisant les textes illustrés de nombreuses et nombreux adeptes qui ont participé farouchement à l'élaboration de ce blog !
  Je ne les remercierai jamais assez !
Je vous embrasse toutes et tous en espérant vous retrouvez un jour dans un autre contexte plus favorable !
  C'est tout ! Si vous savez que je suis un "causeux" sur la fessée, vous savez également que je ne suis pas un "causant" pour le reste ! De nombreuses critiques m'ont été faites de ne pas répondre !
  C'est vrai , je suis un conteur d'histoire, un "dessineux", mais pas un confident qui sache dire ce que chacune, chacun peut ressentir lors d'une fessée ! c'est pourquoi je vous ai laissé vous exprimer !   .....  Ce fut peut-être une erreur de ma part, je ne sais ?

  Sinon, voici encore quelques dessins à commenter ! Les derniers sur ce blog, mais j'espère que certains collègues accepteront mes nombreux qui me restent !

                                                  Bises à toutes, à tous, JeanMi ZERTE.


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                            La Fessée Publique :
                                                                        Qu'elle soit donnée en pleine rue, dans un parc public, ou sur une plage du mois d'aout, la déculottée publique reste une valeur sure dans l'humiliation qu'elle re présente !
  Etre déculottée devant d'autres personnes pour recevoir la fessée, je crois qu'il n'y a pas pire honte !!!



               

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                                                      L'auto-fessée :
                                                                                     Une manière bien personnelle de se punir sans que quelqu'un d'autre ne touche aux fesses!
  Une façon originale de subir la fessée de sa propre main et qui amuse énormément un public attentionné !




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                                                Quand au Maître Martinet, je vous laisse l'embarras du choix !
  Certaines, certains estiment qu'il doit être flanqué en priorité sur les cuisses !
D'autres, plus puristes, ne voient que les fesses nues pour un tel châtiment !
 Et d'autres, tel ce petit rouquin avec sa cousine, voient bien les deux parties du corps le recevoir !
  A vous de juger !


               

                                                  SALUT ET MERCI A TOUTES ET  A  TOUS  !!!!!!

                                    MERCI !

mardi 4 juin 2013

LA CAMPAGNARDE !

                                                 J'ai toujours eu l'art de provoquer les fessées !
  A cause de mes bêtises qui n'étaient pas toujours appréciées !
          Mais il y en a une dont je me souviens particulièrement car elle me fut administrée déculottée par un homme étranger à l'entourage familial.
  Celà se passait à la ferme de ma tante, veuve depuis peu, qui avait embauché un jeune commis de ferme pour s'occuper des chèvres .
  Et ce jour là, j'avais oublié de fermer l'enclos de ces chèvres qui s'égayaient un peu partout dans le domaine . Ce qui provoqua la colère du commis se plaignant auprés de ma tante.
-" Vous avez qu'à lui flanquer une bonne fessée ! Il n'y a que çà qui lui fasse entendre raison !"
Lui lança-t'elle !
  Je n'eus pas le temps de me sauver bien loin qu'il m'avait déjà saisi par le bras .
-" Venez par ici, ma p'tite demoiselle, que je vous enlève vot' culotte !"
  Alors là, mon sang ne fit qu'un tour ! Il avait tout juste 25 ans, et moi un peu plus de 13 .
Pas question qu'il voit mes fesses ! Je me démenais comme une sauvage pour me libérer de sa poigne ! Mais peine perdue, il était costaud le gaillard !
  Il avait pris place sur un banc, et en un rien de temps je fus couchée en travers de ses genoux .
De ma main libre je cramponnai ma petite jupe . Geste dérisoire car mon bras fut repoussé énergiquement et cette jupe se retrouva ployée sur le bas de mon dos .
  Puis, en sens inverse, ce fut le tour de ma culotte descendue bien bas sur mes cuisses .
Sous les moqueries de ma tante accoudée à la fenêtre .

  
-" Ben voilà la Marie France qui nous montre ses fesses ! T'as donc perdu ta culotte, la vilaine ?
Allez-y Julien, ne vous génez pas pour bien la fesser !"
  Et le fameux Julien ne se fit guère prier pour me la flanquer cette fessée !
J'y étais habituée, mais cette main de mâle avait un autre impact ! Quelque chose de différent !
Il claquait irrégulièrement, alternant des gifles rapides suivies d'autres plus lentes.
  Je pense qu'il cherchait à ce que mon fessier animé de soubresauts se calme de temps à autre pour qu'il puisse reprendre la fessée au rythme désiré !
 Je crois que c'est pour celà que je me souviens particulièrement de cette fessée ! Car au bout d'un moment j'ai ressenti un certain plaisir me parcourir.
  Alors, je me pose encore la question ! Etait-ce grace à sa façon de fesser, ou était-ce parce que c'était un homme qui m'avait déculottée ?
  Peut être les deux ... ?

                                                                      Sur une idée de MARIE-FRANCE .

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                                                  Ce week-end, j'accompagnais ma mère et ma tante afin de trouver un gite sympa à la campagne pour nos futures vacances.
  Leur dévolu semblait se fixer sur une grande ferme rénovée dont la propriétaire était une grosse matronne bien en chair. Et je ne pus m'empêcher de faire une comparaison de mauvais goût.
-" On ne fait pas la différence entre le cul de la dame et celui de ses vaches !"
  Manque de chance, elle était juste derrière moi et avait fort bien entendu ma moquerie .
-" Et moi, je vois un petit cul qui mériterait une bonne fessée ! Si j'étais à votre place, mesdames, c'est dans l'immédiat qu'il la recevrait cette fessée !"
  Ma mère me jeta un regard noir, puis se tourna vers la fermière pour lui dire :
-" Eh bien, chère madame, puisque c'est envers vous qu'il a manqué de respect, c'est vous qui allez lui donner la fessée qu'il mérite !"
  Et ma tante de surenchérir :
-" De plus, on vous donne l'autorisation de le déculotter !"
  La grosse dame eut un drôle de petit rire.
-" Oh, ne vous inquiétez pas pour çà ! Quand je corrige les fesses de mes drôles, je retire toujours le pantalon ! Comme on dit chez nous " C'est la lune en plein jour !"
  Puis elle posa son gros postérieur sur un petit muret en briques en me prenant par le bras .
-" Alors, c'est ben vrai, mes p'tites dames, j'ai le droit de le déculotter pour lui flanquer une sacré fessée ?"
  J'eus un regard implorant envers mère et tante, mais rien n'y fit !
-" Tout à fait, chère madame, vous pouvez !"
  Et je me retrouvai aussitôt à plat ventre sur ses cuisses épaisses. Mon short et mon slip furent descendus d'un seul mouvement .

     
  Je montrais mes fesses nues à maman et taty pour recevoir une fessée de la main d'une autre dame !
  Une fessée qui me fit hurler aussitôt ! Ce n'était pas une main qu'elle avait, mais un battoir !
Ouh... je sentais bien qu'elle savait la donner la fessée punitive ! Celle qui ne laisse aucun répit aux fesses, qui est régulière et qui se prolonge malgré les "Pardons" que je criais !
  C'étais la première fois que je subissais une telle fessée !
Lorsqu'elle s'arrêta j'avais vraiment le derrière en feu ! Pas du tout la chaleur habituelle que je ressentais lors des fessées maternelles ( et qui n'était pas trop désagréable !) mais une horrible cuisson comme si les claques étaient encore en activité .
  Cette situation humiliante et douloureuse se termina par une phrase de la matronne que je n'ai pas oublié :
-" Quand vous occuperez le gite, s'il est encore insolent, vous n'aurez cas me le confier ! J'ai également un martinet pour les cas importants !"
  Et ma tante de dire en s'adressant à ma mère :
-" Je crois qu'on va choisir cet endroit ! Cà ne fera que le plus grand bien à mon neveu !"

                                                                                   D'aprés ERIC .