lundi 18 mars 2013

LES ENFANTS ... C'EST VOUS !

                                                             Vos excellents textes et suggestions de " A vous de jouer !" m'ont surpris agréablement !
  C'est pourquoi je récidive avec 4 nouveaux dessins qui peut-être vont vous rappeler certains souvenirs d'enfance.
  Si c'est le cas vous pouvez les raconter dans "commentaires", ci-dessous.
Ou sinon donnez vos impressions sur un des sujets ! Ou imaginez à votre guise !


    Un jeune garçon déculotté et recevant la fessée par une fille devant d'autres filles !
Peut-être une grande soeur méchante ou une copine qui assure un pari ? ou autre ?

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     Des filles avec les fesses à l'air en présence de garçons qui se chargent de bien les fesser !
Ou de garçons qui assistent à ces fessées cul nu !
  Il doit y avoir une raison pour celà !

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              OUH !!! Un garçon qui reçoit le martinet ! Ce doit être assez rare car je n'ai encore jamais eu de témoignage en la matière sur ce blog !

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     -" J'ai reçu la fessée par un gamin !"
Ou bien :
     -" J'ai donné la fessée à une dame !"
Celà peut être possible !  Est-ce que certaines personnes l'ont vécu ? A vous de le dire !
... Ou de l'imaginer !

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                                     A vous de "jouer" en m'écrivant vos récits avec le numéro du dessin !

55 commentaires:

  1. très joli blog continu comme ça.

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  2. Dessin 2
    Moi, ce fut par ma soeur aînée que je reçus une fessée devant un garçon.
    J'avais tout juste 14 ans et déjà je "fricotais" avec un mec. Oh, tout juste des baisers appuyés. Sans plus ! Lorsque Anne nous surprit dans la grange. Et ce fut le chantage :
    " Tu veux que je le dise aux parents ? Pour que tu subisses le ceinturon de papa ? Ou tu préféres que je te donne une simple fessée immédiate ?"
    Connaissant les affres du ceinturon paternel sur les cuisses, je préférais la seconde solution mais en précisant :
    " O.K, mais sur la culotte, hein ! Pas plus !"
    " Bien sur ! je ne vais pas montrer tes fesses à ton copain !"
    Alors je me laissai ployer sur ses cuisses.
    J'avais déjà honte lorsqu'elle retroussa ma jupe pour me donner quelques claques.
    Puis elle me serra un peu plus à la taille, me bloquant fermement contre elle.
    " Et zut ! Cà fait trop panpan culcul ! Il t faut une vraie fessée !"
    Ne pouvant plus faire un mouvement, elle me baissa la culotte ! Cul nu que j'étais devant mon petit ami !
    " Voilà tout ce que tu mérites ! Une fessée déculottée !"
    Et elle claqua mes fesses toutes nues une bonne trentaine de fois, m'obligeant à pleurer plus de colère je crois, que de douleur.
    Une fois la correction terminée elle s'adressa à mon copain :
    " Maintenant toi tu tous le camp ! Tu as vu Anne Lise recevoir une fessée cul nu, et je pense que çà suffira pour alimenter tes rêves érotiques cette nuit !"
    Puis elle aussi me planta toute seule dans cette grange, et je me frottais les fesses, pas tout à fait mécontente de cette humiliation inattendue.
    A.LISE

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  3. bonsoir

    quand j'avais 25 ans, j'ai fessé, avec son consentement, une femme de plus de 40 ans ; je n'étais plus un enfant, alors est-ce-que ça compte et est-ce que ça peut être raconté ???

    Alain

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  4. Mais bien sur Alain ! Mes dessins ne sont que des suggestions ! En définitive dans ce thème c'est la différence d'âge ! Le fait illogique que ce soit un jeune homme qui donne la fessée à une femme bien plus agée. Alors que la tradition voudrait que ce soit l'inverse !
    Vas-y, racontes-nous ! JM Zerte

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    1. Voilà une histoire.
      Ça correspond a la 4eme image.

      Je devais avoir à peine 30 ans a l'époque et mon fils était assez désobéissant. J'avais l'habitude de lui donner une bonne correction. Mais un jour cela c'est retourné contre moi.
      J'étais jeune femme avec de jolies formes. Je voulais sortir un soir. Je ne me souviens plus très bien pourquoi.
      Soudain, dans le jardin, je tombais dans un trou. J'étais prise au piège dans un trou !
      J'appelle mon fils qui a une bonne poigne,qu'il vienne m'aider.
      Mais quand il finit par arriver il me regarda et se moqua de moi. J'étais outrée :" Tu te moques de moi hein ? Et bien je te garantis mon bonhomme que tu vas être bien corrigé !"
      Mais il ne broncha pas.
      Après une longue succession de tentatives pour le convaincre de m'aider à sortir. Au bout d'un moment il accepta mais ce n'était pas tout : "Je veux bien t'aider, mais en échange, je veux pouvoir te donner une fessée !!".
      Je n'en revenais pas. Mais j'acceptais, pensant que, une fois sortie, en aucun cas je n'irai sur ses genoux.
      Mais comme je l'ai dit, le ptio une poigne de fer qu'il avait. À peine sortie du trou, il m'a pris par le bras et me tira jusqu'au salon. Je n'arrivais pas à m'en défaire.
      Une fois dans la maison il s'est installé sur une chaise. Il m'a installé à plat ventre sur ses genoux sans même que je puisse comprendre ce qui m'arrivait.
      Et c'est là qu'il a osé lever ma jupe. Je pensais qu'il s'arrêterait là mais après une bonne dizaine de claques bien sèches j'ai senti sa main glisser sous l'élastique de ma culotte...
      Me voila à moitié nue devant mon fils. Sur ses genoux. Prête à me prendre une énorme fessée.
      Et c'est là qu'il m'a flanqué une de ses fessée. Je criais, pleurait presque. Ce n'est qu'en voyant mon postérieur rouge et endolori qu'il a daigné me lâcher.
      Il m'a envoyé au coin, fesses à l'air, mains sur la tête. Quelle humiliation ! J'ai d'abord pensé refuser mais l'idée de revenir sur ses genoux me terrifiait. C'est comme ça que j'ai pris une bonne correction de mon propre fils...

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  5. bonjour,
    il faut ecrire en direct ou vous l'envoyer et dans ce cas où
    martine

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  6. C’est possible, ça m’est arrivé.
    Fils de divorcés, je voyais mon père un week-end sur deux et la moitié des vacances scolaires.
    Mon père s’est remarié après quelques années, avec une nouvelle femme.
    Un jour, que je ne suis pas prêt d’oublier, en juillet 1975, j’avais 15a, l’âge bête, et j’étais en vacances chez mon père.
    Ma belle-mère, que je trouvais très belle femme avec quelques rondeurs, âgée alors de 32 ans, attisait mes fantasmes d’adolescents. Elle portait une robe d’été, typique des années 70, orange a grosses fleurs jaune, et assez courte. Je la regardais s’affairer dans la maison, les yeux attirés par son décolleté et par ses cuisses nues.
    Je ne sais pas ce qui m’a pris d’essayer de me pencher pour essayer d’entrevoir sa culotte, la fameuse obsession de regarder sous les jupes des filles.
    Je ne devais pas être assez discret car elle m’a donné une gifle retentissante, et a appelé mon père pour se plaindre de mon attitude déplacée.
    Au lieu de m’en remettre une comme je m’y attendais, papa se met à l’engueuler, à lui reprocher sa robe trop courte et à l’accuser de m’avoir allumé. Il lui a interdit de me toucher et m’a demandé si j’avais mal. Je me souviens que j’étais un peu hébété et, la main sur ma joue endolorie, n’osais plus regarder ma belle-mère. C’est devenu surréaliste quand je l’ai entendu lui dire que puisqu’elle m’avait frappé, elle méritait une fessée, et que c’était moi qui allait lui donner.
    D’un seul coup j’ai relevé le nez, et je me rappellerais toujours l’attitude soumise de cette femme que j’avais toujours connue autoritaire, sa façon de baisser les yeux et sa voix qui répond « oui chéri »
    Ensuite j’ai vécu comme dans un rêve, cette femme mure, la femme de mon père, cette femme qui me faisait fantasmer dans mes caresses solitaire d’adolescent, je la voit obéir a mon père qui lui ordonne de se tourner et se pencher en avant, courbée sur la table de la salle a manger.
    Ma main qui tremble quand je l’approche des rondeurs de ses fesses encore protégées.
    Je me souviens du contact de mes doigts avec la peau, très douce du haut de ses cuisses.
    Mon père qui me demande ce que j’attends pour lui relever la robe, et elle qui ne proteste pas. La première fois que je trousse une femme, en sachant que je vais lui donner une fessée, je suis dans un état d’excitation terrible. Je frappe doucement ses cuisses et sa culotte blanche à fleurs, je suis déjà au nirvana, et enhardis, je dis que j’ai envie de lui baisser la culotte. Eclats de rire de mon père qui me félicite et me dis de ne pas me gêner.
    Ma belle-mère qui continue de se laisser faire quand fébrile je lui baisse le slip, découvre sa raie des fesses sombre, la pilosité abondante de son sexe, et surtout deux sensations qui me sont restées, la douceur et la douce chaleur de sa peau, ainsi que l’odeur de son intimité qui m’est montée aux narines.
    Je glisse mon doigt dans sa raie, tellement envie d’écarter la paire de fesses qui m’est offerte. Je touche son anus brun foncé, plissé, je frôle ses poils de cul sans oser toucher son sexe dont je vois les babines collées, laissant apparaitre les petites lèvres qui dépassent. Ma main recommence à lui admonester une série de claques sonores qui font rosir son postérieur. J’ai envie de ne jamais m’arrêter, l’entendre commencer à gémir puis a supplier de m’arrêter m’excite encore plus, les mouvements de son bassin, de ses fesses, ses cuisses me met dans tous mes état. Sa culotte a glissé à ses chevilles.
    Je me souviens de terminer les dernières claques alors que ma main me fait mal, son derrière est bien rouge et elle se tiens les fesses en se relevant, les joues aussi rouges que ses fesses, avant de se reculotter, évitant mon regard, et aller se réfugier dans sa chambre, bientôt suivie de mon père qui me fait un clin d’œil en me disant que j’avais été royal.
    Je n’oublierais jamais ce jour ni cette fessées incongrue, qui a beaucoup compter dans ma vie et m’a laissée ce gout et cette attirance pour les fesses féminines en général et la fessée en particulier.
    Eric

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    1. belle histoire, qui me rappelle mon adolescence, quand je baissais avec mes copains les culottes des filles par surprise, pour leur claquer les fesses.

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  7. J’ai vécu une expérience que votre 4ème dessin représente tout à fait.
    J’avais 35ans et tous les ans je louais la même maison en bord de mer. Il s’agit d’une dépendance dans une grande propriété. Un soir, je me promenais dans le jardin, j’ai vu de la lumière dans le salon, le fils de la maison, 16 ans et de sa petite copine s’embrassaient et se caressaient sur le canapé, je me suis approchait, je dois avouer que cela me troublait, je me suis encore approchée. Je suis resté là à les regarder flirter, derrière la fenêtre. A un moment la jeune fille s’est levée et a disparu de mon champs de vision, mais je regardais le garçon qui a travers son short massait son sexe quand j’ai été prise par le bras, le garçon s’est levé et a ouvert la fenêtre et la fille m’a poussé dans le salon.
    Il a menacé de dire à sa mère ce qui venait de se passer, je l’ai supplié de ne pas le faire, lui était prêt à me laisser partir mais la fille n’a pas voulut, elle disait qu’il fallait me punir et elle dit quelque chose à l’oreille de son copain qui a rigolé. Elle m’a prise par le bras s’est assise sur une chaise et avant que j’ai compris, j’étais sur ses genoux, je me suis débattue mais elle me tenait solidement et a commencé à me fesser. Je suppliais d’arrêter mais rien n’y faisait. Elle savait fesser, moi qui n’avis été fessée de ma vie. Plus je suppliais plus elle frappait. Heureusement j’avais mon short et ma culotte qui me protégeait. Je leur ai dit que je pourrais être leur mère mais rien n’y faisait. Au bout d’un moment, elle s’est arrêtée, m’a fait lever en me tenant toujours le bras, a dit à son copain de prendre sa place et m’a obligé à m’allonger sur ses genoux en me tirant par les cheveux. Il m’a fessée à son tour plus maladroitement mais plus fort aussi et d’un coup elle a passé ses mains sous mon short et l’a baissé avec ma culotte, j’ai hurlé d’arrêter mais elle a baissé le tout jusqu'à mes chevilles et là je senti vraiment les claques surtout qu'elle lui expliquait comment bien me fesser. Croyez-moi il a appris très vite. Mes fesses me brulaient de plus en plus, il y prenait un grand plaisir. Je sentais son sexe sous moi qui durcissait, jamais je n’avais ressenti une telle honte. J’essayais de me libérer mais tout ce que je pu faire c’était lancer mes jambes dans tous les sens et des claques arrivèrent sur mes cuisses et même sur mon sexe, mon short et ma culotte volèrent. Je ne sais pas combien de temps a duré cette fessée, mes fesses étaient un vrai brassier, je pleurais, supplier, il lui dit que cela suffisait mais elle lui dit que non et claqua mes fesses une dizaine de fois de toute ses forces pendant que lui me maintenait de ses deux mains, je hurlais à chaque claque. Des qu’il me relâcha, je sautais sur mes pieds et m’enfuis jusqu’à chez moi à moitié nue. Je me jetais sur le lit et je dois avouer que je me suis caressée, j’en ai encore honte aujourd’hui.

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    1. Bonjour Catherine,

      Ne voudriez-vous pas revivre cette troublante expérience?
      Vous pouvez m'écrire ici: gigi3945@gmail.com

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    2. Bonjour Catherine,
      j'ai adoré ton récit et voudrais te faire part de ce que je vis au quotidien.
      Je vis en couple,famille recomposée,et ma compagne me donne la fessée cul nu et ce devant ses 3 files.Il faut dire que je la provoque très souvent devant les filles et par conséquent elle me punit comme si j'étais un enfant
      Hier soir,nous dinions tous ensemble et la plus grande de ses filles agée de 16 ans avait invité son petit copain qui est un garçon très bien élevé et ma compagne à la fin du repas lui demanda s'il recevait des fesséesl encore par ses parents
      Le garçon lui répondit;"je n'en reçois plus depuis longtemps"
      je pris la parole et dis:"pourquoi l'embetes-tu avec ces questions,tu nous ennuies avec ton obsession de la fessée!"
      Qu'est-ce que je n'avais pas dit là! Ma compagne se leva et sans dire un mot me saisit par la main et m'amena vers le canapé et là,tout alla très vite.Elle dégrafa mon pantalon et le baissa à mes pieds puis saisit mon slip blanc et le descendit avec une énergie inouie.Je me retrouve cul nu devant tout le monde et ma compagne me prend sur ses genoux et commence à me claquer les fesses très fortement.Le copain de ma petite belle fille n'en croit pas ses yeux et assiste bouche bée à ma punition
      je me mets à pleurer comme un petit garçon,mes fesses me brulent et j'éclate en sanglots sous les claques retentissantes de ma compagne
      Elle me relache enfin et je me reculotte tout en frottant mon derrière .Ma compagne s'adresse au copain de sa fille;"tu vois,il n'y a pas d'age limite pour recevoir la fessée et crois moi jean-philippe est le plus indiscipliné de la famille bien plus que les filles
      Il est vrai que je suis souvent fessé car je me comporte comme un gamin

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    3. Comme je vous envie
      Je rêve précisément de trouver une partenaire qui me donnerait de très nombreuses et copieuses fessées déculotté.

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    4. et bien ma chère catherine,votre curiosité vous a amené à espionner ces deux jeunes ados dans leurs ébats amoureux,et a être prise au piège. quelle honte de se faire déculotter par cette fille. vous semblait être attirée par les jeux érotiques, puisque vous mentionnez avoir vu ce jeune homme se caresser le sexe qui vraisemblablement durcissait. effectivement vous appréciez recevoir la fessée déculottée ou en vous caressant, phantasmer à l idée de faire l amour

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    5. ou la vilaine, vous auriez peut être voulu faire l amour avec le jeunot...

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    6. Comme quoi la curiosité est un vilain défaut...

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    7. qui est tu caroline, puis-je vous faire l'amour

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  8. Bonjour à tout le monde.
    J'ai vécu la première situation que j'ai déjà racontée avec un dessin précédent. Mais comme j'adore en parler, je la raconte volontiers encore une fois.
    J'avais 12 ans et j'étais en vacances chez une tante dans le sud de la France. Elle vivait avec ses deux filles, mes cousines de 15 et 16 ans. Ma tante étais souvent absente car elle travaillait dans son magasin en ville et j'étais souvent seul avec mes cousines. Un matin, elles étaient parties en ville avec leurs copines, deux filles qui avaient le même âge qu'elles. Elles m'ont dit qu'elles reviendraient vers midi. J'étais donc seul dans la maison de ma tante. Profitant de la situation, j'avais décidé de fouiller unpeu leur chambre afin de trouver entre autre des sous-vêtements de filles. Je commençai donc à fouiller leur armoires. Le problème, c'est qu'elles avaient oublié quelque chose et qu'elles sont revenues et m'ont surpris dans leur chambre en train de fouiller. Mes deux cousines étaient fâchées et m'ont dit devant leurs copines qu'elles allaient en parler à leur mère et que je serai certainement puni. Je leur demandai pardon et les prièrent de ne pas parler à ma tante. Elles acceptèrent à condition que je sois puni alors par elles-même et sur le champs. Je n'avais pas le choix.
    Après qu'elles aient parlé à voix basse avec leurs copines, elles commencèrent à rigoler et me dire que j'allais recevoir la fessée. Je suis devenu tout rouge de honte. Je fsu rapidement allongé à plat ventre sur les genoux de ma cousine Carole, les deux copines me tenaient les mains et les pieds et mon autre cousine me dégrafa mon pantalon et me mis cul nu me baissant pantalon et culotte en même temps. Elles partirent dans un éclat de rire et m'ont à tour de rôle claqué les fesses.
    Cette fessée me parut interminable. J'avais vécu la honte de ma vie. Ce premier dessin me rappelle vraiment cet épisode de mon adolescence. Merci de nous donner l'occasion de faire remonter ces souvenirs difficiles et en même temps agréable avec du recul. Alex016

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    1. J'avais 12 ans et je descendais jouer au square en bas de chez moi.Ce jour là,il y avait 2 filles qui jouaient à la balançoire et je décidai de les embeter en leur lançant du sable dans la figure.Seulement,je ne savais pas que leur maman était assise juste derrière moi.J'entendis la maman dire:"veux-tu que je t'aide à lancer du sable sur mes filles.Je me retournai et découvris une jeune femme qui me paraissait avoir 30 ans à peine.Je ne me décourageai absolument pas et continuai à lancer du sable sur les gamines qui devaient avoir 10 ans je crois qu'elles étaient jumelles.La jeune maman se mit en colère et dit:"si tu continues je viens te donner une bonne fessée!".Je ne la crus pas et répondis:" çà me ferait mal d'abord faudrait que vous m'attrapiez et vous n'etes pas ma mère!"
      Je vis la jeune maman se lever d'un bond pour fondre sur moi.Je prends mes jambes à mon coup et quitte le square.Mais manque de chance la jeune maman court très vite et me rattrape en 10 secondes à peine.Je n'en reviens pas et là , tout va très vite car elle me saisit par le bras et me ramène vers le banc ou elle était assise juste en face de ses filles.La jeune maman me dit:"je t'avais prévenu tu l'auras méritée cette fessée".Elle commence à dégrafer mon pantalon avec détermination et j'essaie de me défendre en mettant mes mains sur les boutons mais une claque sur mes mains me dissuade de résister.Mon pantalon est descendu jusqu'à mes chevilles.Je crois que le déculottage va s'arreter là mais la maman saisit mon slip blanc petit bateau qu'elle baisse énergiquement.Je suis cul nu devant tout le monde et j'entends ses filles rigoler et dire;" t'as vu ,maman lui a baissé sa culotte il va recevoir une fessée c'est bien fait!"
      J'essaie de me débattre en tapant des pieds et gesticulant dans tous les sens mais la jeune maman me soulève et me couche sans difficulté sur ses genoux.Je sais que je vais etre fessé devant tout le monde et je ne peux plus bouger car la maman me tient fermement.La fessée commence et les claques retentissent sur mon derrière .Je vois les filles qui n'en perdent pas une miette. Je me sens honteux de montrer un tel spectacle mais je n'ai pas le temps de penser à cet instant à ce que peuvent penser les gens qui sont présents car j'éclate rapidement en sanglots,mes fesses sont écarlates et la fessée se termine enfin.Les larmes m'empechent de voir tous les regards fixés sur moi.La jeune maman me relache et dit;" j'espère que tu te souviendra de cette fessée mon garçon et je ne veux plus te voir tourner autour de mes filles car la prochaine fois je te jure que la fessée sera plus longue et tu ne pourras plus t'assoir." Je quittai le square sans rien dire continuant à pleurer à chaudes larmes.J'eus beaucoup de mal à me reculotter tellement mes fesses me brulaient.
      Je me souviendrai toujours de cette maman qui a su me punir comme il se doit et je me dis qu'aujourd'hui,avec les délinquants de l'age de 12 ans en forte hausse,il faudrait des mamans comme celle-ci pour les fesser de la meme manière

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    2. j'aurais adoré être à votre place et recevoir cete bonne fessée par plusieurs filles.

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  9. Voici le souvenir que me rappelle votre dessin du garçon recevant le martinet...

    Je suis déculotté, à 14 ans dans le salon par madame V. . Mon crime ? J’ai répondu un peu brusquement, mais voilà il y a des choses que chez madame V. il convient d’éviter. Je sens descendre mon short puis la fraîcheur complice du vent sur mes fesses nues…
    Mon front se couvre de sueur, j’ai déjà reçu le martinet mais madame V. est réputée punir fort et bien.
    Je suis penché complétement sur l’accoudoir du divan, mes pieds touchent à peine le sol et mes fesses doivent saillir, offertes sans défense…
    « Quand on est grossier, mon ami, on doit en payer le prix ! »
    Madame V est à côté de moi et je ne vais pas tarder à savoir si sa réputation est usurpée…
    Une caresse froide glisse d’une fesse à l’autre, c’est le martinent qui prend la mesure de son terrain de travail.
    Le contact disparaît.
    Clac ! La première cinglée me traverse les fesses d’un trait de feu, Clac, puis ce sont les cuisses, bien au-dessous de la limite du short, les fesses de nouveau, la limite des fesses et des cuisses, les fesses, les fesses, les fesses, je ne suis plus que brasier au-dessous de la ceinture, je reçois encore une vingtaine de claques sur les fesses et une bonne dizaine sur les cuisses. Je saute à chaque coup et je glapis à pleins poumons. Aucune dignité n’est gardée. Madame V. en vrai n’a rien à envier à ce que l’on se raconte. Je me retrouve le short et le slip aux chevilles pour une séance de coin.
    Je ne saurai pas m’asseoir ce soir et pendant quelques jours les regard ironiques sur mes cuisses me feront monter le rouge au front…

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  10. Bonjour a tous et merci Mr Zerte pour ces jolis dessins.Oh si,moi j'ai recu le martinet et je suis bien un garcon.
    Nous n'avions pas de martinet à la maison,malgré les recommendations de ma grand mère et de ma tante,mais il y en avait un chez elles et c'est ainsi que je fis connaissance de cet instrument redoutable et si efficace!
    Ma cousine me racontait ses punitions avec le martinet maternel et je ne cessais de lui poser des questions sur le ressenti d'un tel chatiment.J'etais tres excité par ses recits et je me prenais a deplorer son absence chez nous,un vrai cretin!!
    Mais au cours de vacances chez cette fameuse tante ,ou des l'entrée je vis ce martinet si redouté,j'eus l'occasion d'y gouter:ayant fait les fous ma cousine et moi malgré les injonctions de sa mère nous la vimes tout d'un coup venir vers nous le martinet en main et les lanieres pendantes.Nous etions en été donc en petits shorts et c'est une volée de lanieres qui s'abbattit sur nos cuisses denudées:je hurlais car cette douleur tres piquante n'a rien a voir avec une claque même bien appuyée!
    Le calme revint tres vite et je regardais ahuri ces trainées rouges sur mes cuisses;moi qui voulait connaitre"comment ca fait"j'etais servi!Et ma tante voyant le resultat rapide de son action me dit"tu vois si ta mère en avait un tu serais bien plus sage,mais tu va voir moi je vais te dresser!"et effectivement j'ai recu ma ration de martinet pendant la semaine ou j'etais chez elle,oh toujours justifié mais ma taante ne me passait rien.
    Ma mère venant me rechercher vit tres vite ma sagesse exemplaire et demandant a ma tante celle ci lui repodit"tu sais,avec un bon martinet tout le monde est vite sage,tu vois que tu devrais en acheter un por Michel"je n'en croyais pas mes oreilles quand j'entendis le"oui"de ma mère,puis ma tante nous emmena tous au marché et là ma mère acheta notre premier martinet.Je revois encore ma cousine qui chantonnait pendant tout le retour"Il a son martinet,il a son martinet"
    Rentres chez nous il fut accroché bien visible et souvent decroché pour me faire obeir.
    Donc vous voyez il y a au moins un garcon qui a recu du martinet;c'etait dans les années 60 et cela ne choquait personne.

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  11. En tout cas, moi, je n'ai jamais regretté ces punitions la plupart méritées même si j'en ai conçu bien des hontes sur le moment.

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  12. Chère MARTINE B. , bonjour,
    Tu peux écrire ton texte soit en cliquant sur "commentaires" pour qu'il soit lu en direct, soit en l'envoyant sur mon mail
    rezette50@yahoo.fr, si tu veux me préciser d'autres choses ou te présenter physiquement
    ( photo non publiée ou descritif détaillé de ta personne ) si tu désire un dessin de ton histoire.
    A bientot, Jeanmi ZERTE

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  13. Le premier dessin.
    Etant gamin j'en avais reçu pas mal de fessées, mais pas au point de celle que m'a flanqué ma petite amie du moment alors qu'on avait 16 ans. Car non seulement elle m'a déculotté, mais cette mise à l'air de mes fesses s'est passée devant une copine commune.
    Liliane n'était pas "super costaud" mais elle avait une énergie et une vivacité surprenante.
    Je venais de lui manquer de respect et, en un rien de temps, sans que je comprenne vraiment ce qui se passait, je me retrouvai ployé sous son bras avec mon pantalon de survet et mon slip descendus par une main énergique.
    Ceci fait devant Anne un peu plus jeune que nous.
    Et elle me donna la fessée tel un petit gosse.
    Sauf que quand j'étais gosse, je ne recevais qu'une dizaine de claques. Tandis qu'elle, elle fit durer cette fessée avec plus de quarante claques vivement assénées sur chacune de mes fesses.
    Et c'est surtout la rapidité des claques sans cesse renouvelées, qui me faisait crier.
    A ce rythme effréné la correction n'avait pas duré bien longtemps, mais pour moi ce fut une éternité !
    Anne qui assistait à mon humiliation riait de bon coeur. Sans pitié pour mes fesses martyrisées.
    Mais le pire était à venir avec leurs sarcasmes.
    " Cà t'apprendra à te moquer ! Le fringuant Michel a reçu une fessée déculottée devant témoin !"
    " Eh ben, je pourrai me vanter d'avoir vu ses fesses toutes nues ! Oh la honte ! La fessée cul nu juste en face de moi !"
    En plus d'avoir le derrière brûlant, je devais endurer leurs commentaires humiliants.
    Et là, je voudrais que quelqu'un m'explique pourquoi je me mis à bander ? Je venais d'être chatié et bafoué, alors pourquoi cette érection ?
    Michel K.

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    1. eh bien je ne sais pas pourquoi, mais c'est pour ça qu'on se retrouve sur ce blog. Et une fois de plus, merci à Zerte qui illustre nos fantasmes avec tant de sensibilité.

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    2. Pourquoi donc n'ai je pas eu de petite amie comme Liliane et son amie Anne.?
      J'aurais adoré qu'elle me la donne cette fessée.

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  15. J'ai donné la fessée à une dame...
    Il y a des années, je suis tombé sur les mémoires de l'écrivain Gabriel Chevalier, auteur de Clochemerle. Le livre s'intitulait "l'envers de Clochemerle". L'auteur y relatait qu'à l'âge de dix ans il lui était arrivé l'aventure suivante.
    Une grosse tante d'une quarantaine d'années vivait chez eux. C'était une femme célibataire, assez tourmentée. Un jour qu'elle est seule avec le petit Gabriel, elle se plaint d'avoir "froid aux fesses" et lui propose quarante sous pour qu'il la fesse. Tous deux montent au grenier pour ne pas être surpris, la tante se retourne, remonte sa robe et dévoile un énorme postérieur d'un blanc laiteux, ayant pris soin de ne pas mettre de culotte. Le petit garçon commence alors à la fesser à la main, mais c'est une tâche trop lourde pour lui. Il saisit alors une tapette à battre les tapis et la fesse jusqu'à satiété. Il recommencera, une seule fois, car il ne pourra s'empêcher de s'en vanter auprès d'autres enfants et la grosse tante sera chassée du logis.
    J'invite tous les curieux à chercher ce livre...

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  16. Dessin N3

    Oh mon Dieu que de cuisant souvenirs quand je regarde ce dessin ! Maman me le donnait de cette façon, penché en avant ou debout et slip baissé ! Que ça faisait mal! Les lanieres sur les cuisses et les fesses nues m'arrachaient des torrents de larmes et des supplications à n'en plus finir ! Et c'est zèbré que je filais pleurer dans ma chambre le slip aux chevilles ! Mais j'étais calmé et sur que je ne reccomencerai plus !

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    1. moi aussi maman me déculottait debout,surtout si à l'école j avais mal travaillé, elle me penchait en avant, baissait mon short, puis mon slip, et m 'administrait une fessée claquante, carabinée, mes fesses me brulaient, je hurlais, je sautais sur place.

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  17. Bonjour Michel K,il m'est arrivé a peu pres la même mésaventure:j'avais une voisine de palier qui,étant tres turbulente et desobeissante,recevait regulierement de bonnes corrections avec le martinet familial,et bien sur tres taquin je me moquais d'elle souvent,bien qu'etant moi aussi soumis au même regime.Elle avait quatre ans de plus que moi et sa mère arreta le martinet vers ses douze ans,comme chez nous;mais elle avait alors seize ans et un jour ou j'etais chez elle à l'embeter elle et sa copine je l'ai entendu dire"ca suffit Phillippe je vais te calmer moi"et incredule je la vis sortir pour revenir tres vite.....le martinet en mains!Et j'étais en short court car c'était l'été.Et là ,devant sa copine hilare elle me cingla les cuisses une bonne vingtaine de fois.J'étais honteux de me faire fouetter ainsi devant sa copine qui lui dit"attends,je vais prendre le relai"et ce fut une nouvelle salve de lanieres!
    Je ne savais plus ou me mettre!
    Mais j'y pense tres souvent et j'aimerai tant revivre cette scène.
    Merci de me l'avoir rappeler.
    Phillipe

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  18. Bonjour Phillipe,
    Donc tu as été fouetté par ta voisine et sa copine,et ca a eu l'air de te plaire!
    Etait ce la seule fois,ou y en a t il eu d'autres?Car je pense que tu n'as pas du t'en vanter aupres de leurs mères?Et donc c'etait un encouragement pour elles de continuer ces petits jeux.
    Cela en fait a du t'exciter un peu,non?et tu devais ensuite rechercher ces occasions s'en vouloir l'admettre.Est ce vrai que le martinet a cessé ses fonctions éducatives vers tes douze ans,tu ne l'as plus jamais recu,par ta mère,apres?
    A bientot et amitiés de Valerie

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  19. Bonjour Valerie,
    En fait ce ne fut pas desagreable,bien au contraire!Et comme elle m'avait vu etre fouetté bien souvent nous en avons ri.
    Et bien sur je ne m'en suis pas vanté auprés de ma mère, ce qui fit qu'il y eut d'autres fois,mais oui.Et ensuite ma copine me consolait si bien,apres une séance au coin bien sur!
    Le martinet a cessé vers mes douze ans oui mais il resta accroché bien visible et il est arrivé qu'il reserve parfois: la derniere fois c'était a quinze ans;et vous Valerie avez vous connu le martinet et si oui jusquà quel age?
    Racontez nous ça
    Bien a vous de Philippe

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  20. Bonjour,

    Dessin n°3

    Je suis Alain et je suis né en 1976. J'ai connu la fessée déculottée de la part de mes parents et vers mes 9 ans, en fait le passage au CM1, mon père est rentré avec un martinet. Il fut accroché dans la cuisine, bien visible de tous et sa 1ere utilisation eu lieu le lendemain pour avoir ramené une mauvaise note. J'ai donc très vite decouvert la différence entre les fessées à la main et la fessée au martinet.
    Pour toutes bêtises, mauvaises notes, mensonges et autres, mon père le plus souvent avait l'habitude de me déculotter et de me donner la fessée allongé sur ses genoux, puis de m'envoyer me calmer au coin les fesses déculottées. Puis, pour le passage en CM1, mon père a acheté un martinet, me trouvant trop grand pour recevoir la fessée à la main...
    au début, je le recevais debout, courbé sous le bras de mon père, puis grandissant, mon père a adopter cette position, courbé sur l'accoudoir du canapé. Comme cela cuisait vite, mes pleurs et cris ne l'arrêtait pas et c'est bien fouetté que j'allais me calmer au coin, toujours déculotté.
    Je n'aimais pas du tout ses séances de martinet et mon père le savait bien, mais je savais parfaitement bien pourquoi je recevais le martinet. Il ne servait pas trop souvent, peut être 5 ou 6 fois dans l'année, mais chacune de ses rencontres avec mes fesses étaient très marquantes!! Je ne sais pas combien de coup de martinet je recevais, mais à chaque fois ces soirs de fessée,, j'avais du mal à rester assis à table et j'étais bien content d'aller me coucher, sur le ventre, pour calmer mes fesses et mes cuisses. Bien sur, le lendemain matin, je regardais mes fesses dans la glace de la salle de bain et je pouvais voir les traces laissées par les lanières sur mes fesses et mes cuisses.
    j'ai reçu ainsi le martinet fréquement jusque la fin du collège, puis lors de mon passage au lycée, il est resté longtemps sans être décroché pour mes fesses, mais j'y ai eu le droit en de rare occasion jusqu'en classe de terminal, sauf que pour ne pas être gené pour m'asssoire en classe le lendemain, mon père me donnait le martinet le vendredi soir car le samedi je n'avais pas cours et les fessées étaient très sévères!!!! On discutait avec mon père, argument contre argument et du pourquoi cette fois ci j'allais recevoir le martinet déculotté comme un jeune garçon.
    Je suis l’aîné et comme moi mes deux frères ont connu la fessée à la main déculottée puis lors de leur passage en CM1 la fessée au martinet. Les fessées nous étaient toujours données dans le salon et lorsque la sentence tombait pour l'un de nous, papa annoncait au puni d'aller l'attendre dans le salon. Nous n'avions pas le droit de regarder mais les pleures, les cris et le bruit des lanières du martinet ne trahissaient pas que la fessée était sévère.

    Donc un très joli dessin, montrant comment j'ai reçu le martinet de la part de mon père et que les garçons aussi recevaient le martinet déculottée et pas uniquement les filles !!!!

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    1. Bonjour,

      Oui, les garçons recevaient aussi le martinet déculotté.
      J'ai beaucoup de points communs avec ton expérience.
      Je suis né peu de temps après toi en 1979.
      L'arrivée du martinet en CM1 mais dans mon cas à Noel devant toute la famille. Mon père m'avait menacé de s'en procurer un plusieurs fois : il avait fini par passer à l'action. La honte totale que ce moment là !
      Je me retrouve dans le déroulement de la punition avec le passage au coin déculotté et les mains sur la tête à la fin pour "méditer ma bêtise".
      Comme toi, je constatais les dégâts dans une glace de retour dans ma chambre.
      En revanche, au collège, il servait bien plus que 5 ou 6 fois par an. Il tombait plusieurs fois dans le mois. Il faut dire que j'avais le "diable au corps" comme il disait. Je faisais beaucoup de conneries : clopes, alcools, vols, cours séchés, redoublement, je t'en passe et des meilleurs.
      A croire que plus j'en prenais plus je faisais de conneries.
      J'ai fini par aller en pension et les choses se sont améliorés même si, comme toi, j'y ai encore eu droit quelque fois jusqu'en terminal.
      J'aurai encore plein de choses à te raconter sur ce sujet. Mon email si tu le souhaites : christophe922007@free.fr

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  21. Bonjour Alain,à la maison c'était ma mère qui punissait:le martinet il est arrivé un jour ou chez une amie droguiste elle l'a acheté,et devant moi,sous les commentaires ironiques de son amie,j'étais rouge de honte et rempli d'effroi de voir cet instrument arriver.
    Puis il a servi bien sur,et tres vite,mais je le recevais de façon tres differente de toi:je devais etre debout de profil les mains sur la tête ce qui remontait bien ma culotte courte et ma mère me cinglait les cuisses avec ces lanieres qui me mettaient le feu aux cuisses;je sautillais sur place avec interdiction de proteger les zones fouettées;cela allait de dix a cinquante coups suivant la faute et après je devais dire "merci"et aller au coin debout en accrochant le martinet à un clou mis expres à cet endroit pour l'avoir bien visible devant moi.
    Donc encore un garçon qui a reçu le martinet.
    Amitiés à tous de Jacques

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  22. "Un garçon qui reçoit le martinet c'est rare"

    Je ne sais pas si j'étais une rareté mais pour ce qui est de recevoir le martinet, j'ai été plutôt bien servi.
    De toute façon, je n'étais évidement pas le seul car dans beaucoup de foyer, le martinet était présent et servait pas seulement d'objet dissuasif.

    Ma mère était une adepte et le martinet de la maison, pendu à la poignée de la porte de la cuisine, n'était pas un martinet de bazar. Il était équipé de bonnes lanières de cuir de section carrée.
    Je maudissais les shorts et si j'étais en pantalon, c'était correction en sous vêtements.
    Bon il n'y a pas à dire grand chose de plus, sinon que ça faisait très mal, mais ça ce n'est pas un scoop.

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  23. Bonjour Mike,non ce n'est pas un scoop:le martinet ca cuit et cingle tres fort,j'en ai fait moi aussi l'experience,mais c'était tres usité en ce temps là et tout les copains,et copines y passaient!
    Bien sur avec les culottes courtes c'était pir:plus rapide,plus efficace et ca se voyait de tous!
    A bientôt de Daniel

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  24. Bravo pour ces dessins, je ne suis pas très doué la dessus... et puis ce que disent Daniel, Alain, Philippe, Éric... pardon si je n'ai pas dit le nom - le mien, c'est Alain! ces petits souvenirs, réels des fois mais peut-être un peu 'améliorés', ou fantasmé, et c'est très bien puisque ça fait plaisir de s'exprimer sur ce merveilleux temps des fessées à la main et encore plus adorables au martinet, n'est-ce pas ! Parce que oui, chers amis, depuis mon enfance dans les fifties-sixties j'en ai reçu, et à cette époque ça me révoltait et je me jurais de ne jamais utiliser "ça" pour élever mes enfants... Bon, oui, bon... mais après, je regrette que les fessées soient de plus en plus impossibles à donner pour de vrai aux petits vilains... et encore plus le martinet, les droguistes n'en vendent plus, les marchands de couleur non plus, même les bourreliers... une misère, hein? Bon, je dois arrêter de vous écrire la dessus ce soir, c'est l'heure du marchand de sable, oui, même pour les pépés de 64 ans... LOL, je reprendrai ma plume - pardon, mon clavier! - à bientot si je retombe sur ce site super ! ALAIN

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  25. Bonsoir,

    Merci beaucoup pour ces magnifiques dessins.

    Je vous invite à aller faire un petit tour sur mon blog :

    http://souvenirscuisants.blogspot.fr

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  26. Je m appelle Rebecca et j ai 26 ans. Je devais avoir une douzaine d année et en rentrant de l école, j'apperçu un garçon qui reçevait une féssée par sa mère. Je l ai signalé à mes amies et nous nous sommes mis à nous moquer. Le garçon me lança un regard noir et d un coup, je n eut plus envie de me moquer. Et mon pressentiment était juste : le landemain; je le recroisa dans la rue. Il s avança vers moi. J était paralysée. Il m enmmena sur un banc. Je me laissait faire, bien que consiente du châtiment que j allais recevoir. Il était accompagné d un ami qui ricana lorsque je passa devant lui, tête baissée. J avais l habitude des féssée, mais ce qu il fit me glaça le sang. Il enfonça ses mains dans l elastique de ma jupe et la baissa. Il commença à me fésser doucement sur la culotte puis il la baissa ! Je n avais pas l habitude de ce genre de féssée mais je dois avouer qu il ma plut. Parceque cette fois çi j était nue devant deux garçons à peine plus agés que moi. Mon féssié se balançait au fil des claques. Apparement les garçon prenait plaisir à me fésser. Les larmes commencèrent à roiler sir mes joues rouges. L ami dit sur un ton moqueur : Alors on fait moins la maligne, n'est-ce pas ?
    J ai réussit à articuler un "pardon" mais les rires redoublèrent. Où bout d un moment qui me parrut interminable, les claques céssèrent. Ouf, enfin fini ! Pensais-je. Mais la séance était loin d être terminée : le garçon pris ma jupe et ma culotte et la balança à so ami en rigolant. Les rires redoublèrent quand je me mis à courirent après mes affaires. Il se les lançait de l un à l autre. Puis, l un des deux les balança dans la arbre. Je dû grimper cul nud devant les garçons, hilares. Je me rabillais , puis partie, honteuse. Â partir de ce jour, je ne me moqua plus jamais.

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    1. Dernièrement j'étais installé sur un banc à l'ombre au parc car il faisait une chaleur torride
      Des nounous avec leurs petits étaient en face de moi et causaient tranquillement lorsque 3 gamines d'environ 14 ans arrivèrent en criant et jouaient à s'asperger avec des bouteilles d'eau
      Une des nounous leur demanda de faire moins de bruit et d'aller jouer plus loin car elles risquaient d'arroser les petits
      Une des gamines répondit : " Toi on t'a pas sonné occupe toi de tes marmots"
      La nounou n'en croit pas ses oreilles et interpelle la gamine insolente :" tu peux répéter ce que tu viens de dire sale gamine tu mériterais que je te donne une correction devant tout le monde "
      La gamine rétorque sans complexe " dans tes reves pétasse !"
      Je vois la nounou se lever et fondre sur la gamine qui n'a pas le temps de déguerpir et là il se passe quelque chose d'incroyable
      La nounou saisit la gamine par le bras et l'amène vers le banc ou elle était assise et relève la jupe de la fillette qui se débat
      mais la nounou maitrise parfaitement la gamine et lui baisse sa culotte
      La gamine gigote dans tous les sens et crie mais rien n'y fait
      Ses copines assistent impuissantes à la correction de leur copine
      La nounou vient de basculer sur ses genoux la fillette et commence à lui claquer le derrière avec détermination
      La fillette crie et pleure car les claques sur chaque fesse sont violentes
      la fessée est interminable et l'on entend les hurlements de la gamine qui se fait sévèrement corriger
      La nounou la relache enfin au moment ou la fillette éclate en sanglots puis lui fait la morale devant tout le monde
      "Tu vas me donner ton nom et ton adresse pour que je contacte tes parents pour leur dire combien tu a été insolente je ne crois pas que cela va leur faire plaisir"
      A mon humble avis je pense que cette gamine n'a aucun repère familial et ne connaît pas l'autorité et je suis sur qu'elle vient de recevoir la 1ere fessée de sa vie ce qui n'est pas un mal
      La gamine en pleurs décline son identité à la nounou tout en sanglotant et se frottant le derrière
      Puis la nounou la congédie et les gamines quittent le parc rapidement
      Je me dis que la nounou a fait preuve d'une grande autorité et je pense que cette gamine insolente n'est pas prete d'insulter une grande personne suite à la fessée cuisante qu'elle vient de prendre

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    2. bravo la nounou a bien corrigé cette gamine, j'éspère justement que sa mère va la redéculotter et lui flanquer une autre fessée carabinée!!!!!

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  27. Nous étions dans les années 70,et ma soeur et moi allions avec d'autres garçons et filles de nos ages dans un lycée privé ou la blouse en nylon blanche assez longue et boutonée sur le coté était obligatoire.Certes je l'avoue que temps en temps et cela meme à l'age de 16 ans ma soeur et moi reçevions encore le martinet de maman sur nos fesses,ce qui était très vexant en plus de la douleur,surtout que notre mere était une femme grande et forte et le martinet était donné à toute volée sur nos pauvres fesses,mais certainement qu'on l'avait mèrité!.Mais en plus il y avait cette bécheuse,fille de patron qui méprisait nous tous en classe ! une vraie pimbeche quoi!.Mais un jour un jeudi qu'on avait pas classe,une copine à ma soeur nous a invitée chez elle,biensur on avait tous nos blouses sur nous meme sans école,car sortir sans sa blouse la !c'était le martiner illico-presto! et à coté de sa maison il y avait cette grande maison de maitre,avec une haie qui séparait les 2 propriétés et on pouvait voir le parc d'à coté,et soudain,on vit la fameuse pimbeche jouer dans le grand parc,je me suis meme exclamé ,ah mais c'est donc la qu'elle habite cette pimbeche,et j'allais m'en aller,quand ma soeur me rattrappé par ma blouse et dit arrete regarde qu'est ce qu'elle fait,en effet elle avait pris un grand baigneur et elle avait pris certainement le martinet de la maison et elle donnait du martinet sur le baigneur en disant tiens doudou ! Puis sortie de nulle part une belle femme la quarantaine habillée aussi d'une belle et longue blouse en nylon rose boutonée dos ,et elle apella apparament sa peste de fille ,mais elle se sauva,sa mere courut après elle et manque de chance pour elle elle trébucha et tomba,ce qui arrangit sa mere,de ce fait sa mere reprit le martinet en disant combien de fois t'ai-je dit que tu n'avais pas le droit de le prendre le martinet ,il n'y a que moi,puis en la maintenant bien à terre la fessée commença,et nous on assisstait à tout ,...et SCHLACK, SCHLACK,pendant 5 bonnes minutes les lanieres en cuir lui ont bien mordus ses fesses ,meme qu'elle disait non maman non ahh..et de nouveau SCHLACK?schlack ..bref comme on dit elle a eu sa dose,puis sa mere la laissant parterre en se tordant et se pliant ma soeur et sa copine dirent ,c'est bien fait pour elle cette mijaurée ,de plus cela prouve qu'il n'y a pas que nous qui en reçevons aussi de temps en temps ,meme les filles des riches..Ce qui dès le lendemain arriva en classe deès qu'elle voulut prendre de grands airs ,ma soeur et sa copine lui rétorquèent ,oh ça va hier tu faisais moins la fiere quande ta mere t'as donnée une bonne fessée au martinet parterre en plus avec ton grand baigneur ..,la elle n'a plus quoi dire ,et par la suite elle devint plus humble ,de peur que l'histoire se répendit dans la classencomme quoi meme les fessées au martinet peuvent elles aussi avoir du bon de temps en temps !

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  28. Je m'appelle Nicolas, le dessin numéro 1 me rappelle quelque chose quand j'avais 14 ans en 1996 (j'en ai 32 maintenant) mes parents étaient partis conduire de deux mes sœurs chez une de mes tantes, ma mère avait recommandé à mon autre sœur de me donner la fessée déculottée si je faisait des grosses bêtises (il faut dire que mes 3 sœurs et moi étions habitué au genoux de notre mère vue que la fessée déculotté était de mise chez nous, même si nous avions respectivement 18,16,14 et 12ans à ce moment là), j'étais resté seul avec ma sœur de 16 ans, un après midi deux de ses copines étaient passées à la maison Emma une belle blonde (qui deviendra ma femme) et Julie, nous avons pris le goûter dehors (le temps aidant) a un moment donné j'ai eu la mauvaise idée de me baisser pour voir ce qu'il y avait sous la jupe d'Emma ma sœur l'a vue et ma demander directement en criant "Nico qu'est ce que tu viens de faire? tu es fou!! baisse ton pantalon tout de suite tu vas avoir la fessée", j'ai refusé de venir mais comme elle était à côté de moi elle m'a pris par le bras me forçant à me lever une fois debout elle m'a dans coup sec ouvert mes bouton de jeans pour le faire baisser jusqu'à mes chevilles sous les yeux ravies des deux filles qui étaient juste en face de moi, je l'a supplié pour qu'elle baisse pas mon slip devant les filles mais en vain celui-ci rejoignit mon jeans puis ma sœur me bascula sur ses genoux, je croyais que ses tapes ne seraient pas fortes mais non elles étaient aussi fortes que celle de notre mère avec un rythme assez soutenue, j'entendais ses mains rebondir sur mes fesses cela à duré 5 bonnes minutes puis elle m'a relevé en me disant de me mettre face au mur avec mes mains sur la tête en attendant que mes fesses redeviennent blanches.
    Ce fut l'une des rares fois que je reçu une fessée de la part d'une de mes grandes sœurs (J'en avais déjà reçu une de ma plus grande sœur qui aidait ma mère quand à "l'éducation des trois plus jeunes"
    Quand mes parents sont revenues ma sœur a expliqué ce que j'avais fait et j'eu le droit à une nouvelle grosse séance de fessée devant ma sœur et mon père...

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  29. Le dessin n°4 me rappelle ma jeunesse ; 1974 ,j'étais en CM2 et la punition en vigueur à la maison était jusque là la fessée donnée sur les cuisses par ma mère . Aux vacances de la Toussaint , j'allais une semaine chez mon meilleur copain de classe .La maman avait sympathisé avec la mienne et avait proposé de me recevoir pour les vacances . J'étais très heureux car la maison etait grande avec un beau jardin Dès mon arrivée , je remarquais un martinet accroché dans la cuisine ; Sa soeur , qui était en 6ème me le montra en disant " attention ,il faut être sage si tu veux pas avoir la fessée " La maman , très gentille par ailleurs confirma " Ca marche au martinet ici , bonhomme " J'étais très impressionné .Chaque fois que je rentrais dans la cuisine ,je regardais ce martinet avec effroi , mais aussi petit à petit avec envie .Deux jours plus tard ,alors qu'on jouait danbs la chambre de mon copain, j'entendis la amamn gronder sa fille , puis le bruit caractéristique des lanières claquant les fesses , puis les pleurs et supplications de la fillette . Deux jours plus tard encore ce fut le tour de mon copain qui avait désobei , nous étions sortis dans la rue tous les deux ; devant moi il reçut une dizaine de coups très secs sur les cuisses et ce que j'espérais depuis quelques jours arriva :la maman m'appliqua quelques coups peu appuyés sur le derrière des cuisses . Elle n'avait pas voulu faire d'injustice par rapport à son fils
    Quand ma mère me récupéra, elle lui dit que j'avais reçu une petite correction et dit que je mériterais bien d'être dressé plus sévèrement . Elle vanta les résultats de sa méthode et conseilla l'achat d'un martinet . Ma mère ecouta et dit " tu as raison " j'avais chaud aux joues et le coeur battait très vite . Mon copain et sa soeur rigolaient . Quinze jours plus tard un superbe martinet était accroché au mur de la cuisine ; il servit souvent jusqu'à la fin de la 5 ème et ma soeur cadette en profita aussi .
    Denis

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  30. Merçi pour ces témoignages et dessins de fessées au martinet données par nos meres,sur les fesses ou posterieurs des garçons et filles!car durant toutes ces décennies car c'est bien comme ça que ça se passait,ce n'était pas comme aujourd'hui ou les parents ont démissionés et helas on voit les tristes résultats par exemple en Anglais nous les français nous sommes vraiment nuls ,on ne fait "aucun effort!", ce qui nous vaut d'etre classés 23eme sur 25 ?!,! en Europe.Mais de quoi ça tient que nous les Français sont "si nuls en langues étrangères ?! Justement j'y viens dans les années 74/75/76 moi et ma soeur allions dans une école privée car en public c'était catastophique ,et à cause qu'on ne nous apprenait rien et bien nous non plus on apprenaient rien ,Ce qui nous valaient à moi et ma soeur souvent d'avoir nos blouses en nylon et culottes et jupes d'abaissées et d'etre fouettés au Martinet par maman et quand ça ne suffisait pas en plus nos tetes étaient rasées à la tondeuse électrique par maman + privé de sorties...Voila pourquoi nous sommes allés ma soeur et moi vers nos 16 ans en école privée certes la blouse en nylon et bretelles restaient obligatoires ,mais si les résultats n'étaient pas meillieurs également les fouettées au Martinet ( à l'école privée aussi)et de toute façon nous tetes étaient rasées à la tondeuse par nos proffeseurs feminins également!Par conséquent et je n'ai pas honte de le dire moi et ma soeur ( ainsi que les autres filles et garçons) nous étions régulierement fouettés au Martinet par nos meres!Mais à force de le craindre et qu'il nous fasse si mal à nos fesses ,cela nous a boustés et nos résultats se sont beaucoup ameliorés !,Dond quelque part aujourd'hui je le reconnais "Le Martinet " donné par maman avit du bon mais voila qu'il a été supprimé en france ainsi que le port de la blouse quel erreur....!

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  31. Apparament d'après les récits ci-dessus,nous étions à peu près tous fessés au Martinet par nos meres,et cela meme comme nous en 1977 !a cette époque moi et ma soeur agés respectivement de 13 ans et 15 ans non seulement comme nos parents avaient la grande pharmacie centrale sur la place dans une petite ville dans l'est de la France,mais en plus nous allions dans une école privée catholique!Alors que les autres lycées ne portaient plus la blouse en nylon ,et bien nous si elle était meme obligatoire ,pour nous les garçons et les filles!en plus elles étaient assez longues et nous arrivaient à 20cm de nos grosses chaussures lacées en cuir et en un nylon blanc et boutonées sur le coté par de grands boutons en plastique blancs eux aussi!De plus pour les garçons on devaient mettre des culottes courtes tenues par des bretelles boutonées à pattes de cuir et "bien tendues ,pour qu'elles remontent le plus haut possible+le beret noir sur nos tetes toujours impecablements bien rasées garce aux religieuses qui prennaient un plaisir à nous les raser!Quant aux filles certes on ne touchait pas à leurs cheveux ,sinon elles toutes et cela de 7 ans à 18 ans elles devaient mettre sous leurs blouses des jupe plissées bleue-marine à larges bretelles droites devant et croisées dos + le beret comme les garçons!Et en ce qui conçerne les fessées au Martinet que nous reçevions pour un oui ou pour un non,les religieuses ne se privaient pas en plus elles en profitaient pour nous fesser avec leurs martinets avec force ce qui faisait mal à nos fesses ,car en plus elles les faisaient fabriquer chez un cordonnier ,ce qui n'a rien à avoir avec les martinets vendus en animalerie !En plus après avoir été bien fouettés bien durement sur nos fesses,on devaient se mettre pendant 30mn à genoux et avec les mains sur la tete et tout cela en pleurant!,et gare si on ne maintenait pas bien la position nous étions vite redressés par celle-ci de nouveau avec son maudit martinet !et pour ce faire elles n'hésitaient pas à soulever nos blouse et de nousmaintenir par nos bretelles de dos!,bref ce n'était pas la joie ,pour les garçons et les filles,!De plus si la chose était répètée à nos meres soit par les religieuses et par un ou une camarade de classe en rentrant nos meres nous attendaient elles aussi dans leurs longues et larges blouses en nylon et leyrs martinets en mains ,ce qui voulait dire que dés qu'on rentrait de nouveau nous reçevions une 2émé belle fouettée ,mais cette fois culs nus par elles au martinet!Après ça je ne vous explique pas qu'on avait du mal à s'assoir sur une chaise pendant plusieurs jours!,En tout cas etre écolier aujourd'hui et à cette époque pas lointaine d'aillieurs ,Il fallait marcher droit et nous étions bien disciplinés!

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  32. Non ! Un garçon qui reçoit le martinet ce n'était pas rare dans les années 1950-1960, c'était même assez courant. Et je crois bien qu'ils y goûtaient plus que les filles.
    On en trouvait dans toutes les drogueries et les droguistes ne manquaient pas de les exposer bien visibles et d'en conseiller l'achat aux parents. Il ne pouvait y avoir de bonne éducation sans martinet, considéraient beaucoup de gens. Il pouvait n'être qu'un symbole dissuasif pour certains parents mais le plus souvent c'était l'instrument éducatif par excellence pour punir. Et c'étaient les parents qui décidaient ! Pour de petites désobéissances, pour des insolences, pour des disputes, pour des mauvaises notes, et même quelques fois pour des broutilles. Parfois il suffisait de quelques coups à la volée sur les cuisses ; d'autres fois, cela se déroulait comme sur le dessin, appliqué sur les fesses, déculotté ; et enfin, comme le relatait Jacques, une correction bien sentie sur les cuisses nues, en culottes courtes.
    J'avoue que c'était de cette dernière façon que je le recevais. Ma mère l'avait acheté pour mes notes médiocres et je dois admettre qu'il s'avéra très efficace ; mon travail s'améliora nettement et en même il servit un peu pour de petites incartades disciplinaires à la maison. Ma mère me cinglait les cuisses nues et je sautillais sur place mais rien n'y faisait. Après elle séchait mes larmes et me consolait. Mais le martinet avait trouvé sa place dans mon éducation et il tint son rang jusqu'à seize ans passés. Ma mère l'avait installé pendu au salon, bien en vue, et elle voulait que chaque punition fut bien visible, ce que les culottes courtes facilitaient en exposant nettement mes cuisses zébrées ; et c'était cela, plus que la douleur, qui rendait le martinet craint et respecté. La "longueur " des culottes courtes fut choisi en fonction de l'usage du martinet, cuisses nues aux 2/3 puis aux 3/4. Petit à petit je dus m'habituer au martinet puis je compris ma mère et ses motivations. je devins plus stoïque, c'était une question de fierté. Et à l'époque, les parents qui employaient le martinet étaient nombreux et félicités ; tout le contraire d'aujourd'hui.

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  33. Je suis un garcon de 44 ans et à la maison je reçois toujours le martinet à cul nu!

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  34. Je suis un garcon de 44 ans et à la maison je reçois toujours le martinet à cul nu!

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  35. Entre l'âge de 6 et 10 ans ,j'ai reçu des fessées à la main par ma mère, déculottées ou non.à l'âge de 10 ans, maman jugea que je résistais à ses fessées manuelles, même données déculottées ,et commença à envisager le martinet; un jour peu de temps après mon entré en CM2 ,je l'entendis en discuter avec une amie qui me donnait les leçons de catéchisme.Cette amie de ma mère avait un garçon et une fille un peu plus agés que moi et utilisait un martinet pour les discipliner.Sur ses conseils , maman acheta un martinet à la droguerie du quartier et l'accrocha dans la cuisine.Je me souviens avoir été choqué par cet achat ,mais en même temps très heureux et excité ;je pense que je souhaitais etre traité comme les autres enfants,sans m'en rendre compte.Maman a utilisé souvent ce martinet jusqu'à mes treize ans!
    Carole

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  36. Qui aime recevoir et donner la fessée déculottée soft sur les genoux jai une jolie paire de fesses imberbes et douce je suis proche de Paris je donne aussi des bonnes fessées sévère ou très sévère selon les demandes annonce tres sérieuse ci intéressés laisser un message svp merci par sms 0659137399

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