lundi 30 juin 2014

UN PEU TROP olé-olé ( SUITE )

                               Résumé de l'épisode précédent,
                                        Estelle avait été injustement accusée d'avoir provoqué un chahut un peu ... olé-olé, et s'était retrouvée punie par une bonne fessée administrée par Elsa !
  Mais son tuteur n'était pas de cet avis § Non pas qu'il plaignit sa petite protégée, une déculottée publique ne pouvait que lui faire du bien !
  Mais en s'adressant à Elsa, il montra du doigt le haut du pantalon d'Arthur un peu ... trop tendu !
Puis il retroussa la sortie de bain de Nadia pour qu'elle voit une petite culotte tout ce qu'il y a de mini, ne cachant rien de ses rondeurs !


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                                                             J'avais un martinet accroché derrière la porte d'un placard. Je m'en saisis pour le présenter à Elsa !
-" Voilà un instrument qui va certainement t'aider à corriger les vrais responsables !"
  Surprise, elle regarda ce martinet tel un objet insolite, caressa les lanières en cuir, puis s'en empara pour le faire claquer plusieurs fois de suite sur sa main gauche .
  Nadia et Arthur la suivaient des yeux, un peu inquiets ... ! Et il y avait de quoi être inquiet car son injonction d'obéir fut immédiate !
-" Vous allez tous les deux vous mettre les fesses à l'air pour que j'inaugure le cadeau de Monsieur Zerte !"
  Nadia, connaissant les sévères morsures du martinet, commença à pleurnicher, mais Arthur la rassura : -" Ne t'inquiétes pas, c'est du bluff ! Jamais Elsa n'osera s'en servir !"
   
  Mais à peine son bermuda descendu, ce fut un excellent revers de lanières tendues qui cueillit le haut de ses cuisses, l'obligeant à faire un bond en avant !
-" Dépêches-toi de retirer ton caleçon, que j'en fasse autant sur tes fesses !"
  Déjà, Nadia docile avait baissé sa culotte, me laissant voir de nouveau son adorable fessier bien rond !
  Puis j'avisai celui de "petite chérie", toujours au coin avec les mains à plat sur la tablette !
Heu ... ce n'était plus une fillette ! Ce qu'elle montrait était mignon, certes, mais indécent !
 Je me précipitai pour cacher ce qui était réservé à mon regard !
Quand j'entendis le claquement significatif du martinet ! Ainsi que l'appel à l'aide d'Elsa :
-" Si vous pouviez les cramponner pour que je les fouette comme il faut ... !"
Alors je leur coinçais la tête sous mes bras, contre mes hanches, et elle se remit à fouetter !
    
  Pas besoin de lui expliquer le maniement du martinet, elle l'avait trouvé instinctivement !
Avec de grandes volées de lanières qui cinglaient parfaitement cuisses et fesses !
Ouh ... j'avais l'impression de contenir une mélée de rugby tant la poussée de Nadia et surtout d'Arthur était puissante à chaque réception des bonnes cinglées administrées par Elsa !
  Ce n'était pas une fessée pour jouer qu'elle flanquait, mais une vraie correction !
En tout cas, comme elle portait une robe assez courte, à chaque envolée du martinet cette robe se soulevait et je pouvais voir sa culotte dentelée. Hum ... pas vilaine cette vision ! Surtout que son fessier était bien rebondi, et ... sa culotte pas bien large !
   
  Vu l'état des fesses cramoisies des punis, elle décida de stopper le châtiment !
Ah, ils pouvaient frotter leur fesses ! Cà devait leur cuire !
  Puis Elsa, contente de son autorité, secoua le martinet tout en me regardant.
-" Je suis enchantée de cet instrument, monsieur Zerte, et je serai heureuse de m'en resservir !
Surtout ... sur quelqu'un qui n'hésite pas à bien se pencher pour mieux regarder ma culotte !
N'est-ce pas ?"
Heu ... Je crois qu'il était tant de changer de sujet ! Tiens, il y avait un excellent film à la télé !
Bon ! Nadia et Arthur, toujours les fesses à l'air sous l'ordre d'Elsa de ne pas se reculotter, sont restés debout, ne pouvant poser leur fesses et pour cause ... !
Quand à "petite chérie" elle est venue s'asseoir sur mes cuisses en remuant du popotin !
Vilaine fille !
Mais... je n'aimais pas le regard noir d'Elsa !
     


6 commentaires:

  1. Le martinet reste un mauvais souvenir avec ma mère, car nous étions la plupart du temps en culotte courte et elle cinglait nos cuisses . C'était horrible et tout le monde pouvait voir les traces .
    Par contre, ma tante nous déculottait et nous recevions les lanières sur les fesses nues. C'était nettement moins douloureux et ... même presque agréable ! Mais ce n'était surement qu'une impression car, comme Zerte, je devais certainement avoir le "syndrome de la déculottée". J'acceptais pleinement ce martinet sur mes fesses dénudées, même en présence de mes cousines !
    Mais je crois surtout que la déculottée y était pour beaucoup, me faisant oublier la douleur. Louis.

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    1. Assurément le martinet se fait bien sentir. Comme pour louis, ma mère me l'appliquait sur les cuisses nues car j'étais presque tout le temps en culottes courtes et les lanières de cuir les mordaient bien laissant des traces visibles de tous. Ma mère n'avait pas besoin de le manier énergiquement pour obtenir un résultat efficace. De mes onze ans à mes seize ans, le martinet a accompagné mon adolescence. Il était employé pour toute désobéissance, écart de langage et surtout travail scolaire insuffisant. Ma mère apprécia assez vite les effets positifs du martinet sur mes résultats scolaires et mon comportement qui s'améliorèrent nettement. Pendu bien en vue, il pouvait être facilement décroché au moindre relâchement. Des règles et des limites à ne pas dépasser furent établies sous peine de martinet lui donnant un rôle tout à la fois dissuasif et punitif quand il le fallait. Je savais donc à quoi m'en tenir. Très prude, ma mère ne m'avait jamais donné de fessées déculottées, c'est pourquoi l'usage du martinet ne pouvait s'effectuer que sur les cuisses laissées nues par les culottes courtes. Des modèles très courts me furent imposés afin de dégager mes cuisses au maximum. Au début, je gigotais sous l'effet des lanières ; puis avec le temps, constatant moi-aussi que le martinet m'obligeait à travailler de mon mieux en classe, je m'habituai au martinet et finalement acceptai les corrections d'autant plus que ma mère était juste et que les punitions étaient toujours méritées ; je le lui avouai. Plus que la douleur elle-même, c'était le fait de devoir exhiber mes cuisses zébrées à la vue de tout le monde qui m'incitait à en recevoir le moins possible. Ma mère était très satisfaite des bons offices du martinet et ne me l'épargnait pas même vers 15-16 ans. Cette discipline n'était certes pas agréable à subir, mais avec moi elle s'avéra parfaitement éducative et atteignit les objectifs fixés par ma mère. Fort heureusement, étant de petite taille, à seize ans, on me donnait deux ou trois ans de moins et je gardais une allure très juvénile ; et dans les années soixante on trouvait encore pas mal de garçons de 13-14 ans en culottes courtes. Par ailleurs l'usage du martinet était très courant et parfaitement accepté à l'époque.
      Cambaceres

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  2. Je veux la suite de mon histoire la semaine prochaine si possible Monsieur Zerte

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  3. a quand une autre histoire? avec elsa, nathalie

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  4. Quand aurons nous enfin la fin de cette histoire ? Quand est ce que Elsa va fouetter Mr Zerte sévèrement ? C'est tout ce qu'il mérite !!

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  5. Il serait temps que l'on ai enfin la fin de cette histoire. Mr Zerte aurait-il honte de se faire fouetter sévèrement par la belle Elsa ?

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